Aller au contenu

Page:Hoffmann - Œuvres complètes, tome III.djvu/251

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Une traduction tronquée de ce conte si éminemment satirique a paru dans un recueil volumineux de morceaux détachés, empruntés à toutes les plumes et à tous les genres. Nous l’avons cependant mentionné comme inédit à la table de ce volume. En effet, l’œuvre d’Hoffmann a été défigurée par des suppressions de chapitres entiers, sans compter une foule d'omissions partielles. Mais on a déjà pu s’apercevoir qu'il en est à peu près de même de toutes les prétendues traductions de l’original, si l’on a pris la peine de comparer la nôtre avec elles, ou celles-ci avec le texte. Nous devons excepter celle qu’avaient entreprise conjointement M. Toussenel et le traducteur de romans de Veit-Wéber, mais qui est restée inachevée.