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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, tome III.djvu/250

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4 (Pag. 92.) V. la note 5 du conte précédent. — Un peu plus loin, Fabian et Zacharie emploient quelques autres termes spécialement consacrés entre étudiants, et qui s’expliquent assez d’eux-mêmes.

5 (Pag. 94.) Ce nom est imaginaire ; mais rien n’est plus fidèle que la peinture des mœurs universitaires, tracée ici par Hoffmann avec l’ironie spirituelle qui lui est familière, et qui distingue surtout, pour ainsi dire, chaque ligne de ce conte.

6 (Pag. 108.) Les mots en italique sont en français dans le texte allemand. J’en fais la remarque, parce que c’est un trait de plus qui peint l’affectation du pédant Mosch Terpin.

7 (Pag. 117.) Pumpernickel, espèce de gros pain bis que mangent les paysans en Westphalie, et qui se sert par raffinement avec le thé.

8 (Pag. 118.) Luc. Cranach, peintre distingué, dont la galerie de Dresde possède plusieurs ouvrages, entre autres les portraits d’Érasme, de Luther et de Mélanchton, et le sien propre. Le professeur appelle ainsi Balthasar, par allusion à son costume ancien, pareil à celui des portraits de l’artiste.

9 (Pag. 187.) Le singe Belzebub de Linnée, remarquable par sa longue queue terminée en forme de houppe, et dont il a la faculté de se servir comme d’une main dans certaines occasions.

10 (Pag. 217.) Voyez Hamlet, acte premier, scène dernière.