Page:Hoffmann - Contes fantastiques,Tome 2, trad. Egmont, 1836.djvu/255

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dans l’existence paisible de pauvres femmes sentimentales !

— Mais, dis-je à mon grand-oncle en l’interrompant, mais me supposez-vous l’idée de me faire aimer de la baronne ? — Singe que tu es ! s’écria le vieillard, si je le croyais, je t’aurais jeté déjà par cette fenêtre !… »

L’arrivée du baron mit fin à cet entretien pénible, et le soin des affaires vint me distraire des rêveries passionnées qui ne me permettaient de songer qu’à Séraphine, dont l’jmage me suivait partout.