Page:Hoffmann - Contes fantastiques,Tome 2, trad. Egmont, 1836.djvu/440

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

il est mort à la bataille victorieuse de W.... Une chose vraiment étrange et remarquable, c’est qu’Adelgonde depuis cette soirée fatale est délivrée de sa vision. Elle soigne assidûment sa sœur malade avec l’assistance de la vieille française. — Sylvester m’a appris aujourd’hui que l’oncle des pauvres enfants est ici pour consulter notre excellent docteur N***, au sujet de la méthode curative qu’on pourrait, à tout hasard, tenter sur Augusta. — Fasse le ciel que cette guérison si invraisemblable puisse s’effectuer !