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Page:Hoffmann - Contes fantastiques, trad. Christian, 1861.djvu/15

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adouci de Voltaire, la sensibilité exquise de Bernardin de Saint-Pierre. — Il y a dans ses Contes la variété piquante de le Sage unie à l’esprit de Molière, à la caustique naïveté de Cervantes, à la finesse de touche de l’abbé Prévost. C’est le livre de tout le monde.