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Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/239

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dant il consulta M. Joung qui, n’écoutant pas son intérêt propre, lui conseilla d’essayer encore de la peinture, et de voir pour quel genre il aurait le plus de talent. Dans sa jeunesse, il paraissait s’être voué à la figure. Pour achever les tableaux de son père, il avait étudié le paysage. Actuellement il avait l’ambition de s’élever jusqu’aux tableaux d’histoire, et de copier ceux des grands maîtres. Il apprit avec transport que la galerie britannique était ouverte à tons les jeunes artistes ; et se promit de profiter de ce secours, sans pour cela abandonner la gravure. Il osa se flatter de mériter l’approbation du public dans ces deux arts si étroitement liés. M. Joung approuva ce plan ; et connaissant particulièrement les directeurs de l’Institut national, il leur recommanda son élève comme un jeune homme qui ferait