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Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/251

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et d’offrir au public dans cet excellent ouvrage, un portrait plus fidèle encore de son esprit et de son génie.

— Mais, mon cher Ludovico, dit Agnès en parcourant cette belle édition, elle a dû vous coûter beaucoup. J’espère que pour me procurer tant de bonheur, vous n’êtes pas allé au-delà de vos moyens.

— Nos, ma chère et bonne mère ; bien au contraire : j’ai tiré de cet ouvrage, tous frais payés, la somme de douze cents pièces, que je prie ma chère Constantine de recevoir comme un présent de son parrain. Constantin-Le-Grand ; c’était à lui à la doter.

— Non, non, mon frère ! s’écria la jeune fille ; c’est à vous, seulement à vous !

— Eh bien ! alors chère sœur, accepte-le comme le don d’un frère à qui notre père mourant remit sur lui ses