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Page:Hope - L’Étoile des fées, trad. Mallarmé, 1881.djvu/120

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PAGE 78.


Sans perdre plus de temps, Rubis brûla le chemin, fut à la cabine, juste comme le capitaine sirotait son thé brûlant. Rubis oublia que, comme il n’était point préparé à l’entendre, sa voix, même douce, lui causerait un saisissement, aussi commença-t-elle à lui chuchoter aux oreilles, mais cela le chatouilla au point de le faire presque étouffer et il renversa tout son thé chaud.