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livre troisième.
frent de l’enfantement, et les dérobes à la mort, Déesse aux trois formes,
Que le pin qui t’est consacré domine ma villa,
et, joyeux, tous les ans, je l’arroserai du sang
d’un porc qui cherche à frapper d’un coup oblique.
À la nouvelle lune, si tu lèves au ciel tes mains suppliantes, rustique Phidylé ; si tu apaises tes Lares avec de l’encens, les fruits de l’année et une truie avide ;
Ta vigne féconde ne sentira point le vent
empesté de l’Africa, tes moissons ne connaîtront point
la rouille stérile, ni tes doux nourrissons le
mauvais temps de la saison des fruits.