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odes.

n’enfreindront point les édits Juliens, ni les Gètes, ni les Sères, ni les Perses perfides, ni ceux qui sont nés près du fleuve Tanaïs.

Et nous, dans les jours sacrés et ceux qu’on ne fête pas, au milieu des dons du joyeux Liber, avec nos enfants et nos matrones, priant les Dieux selon le rite,

Nous chanterons, comme nos pères, en un chant mêlé aux flûtes Lydiennes, les chefs qui ont pratiqué la vertu, et Troja, et Anchisès, et la race de la féconde Vénus.