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XIII
À LYDIE
Lydia, quand ta voix nous vante
Le cou rosé de Télèphe, et les bras
Nivéens de Télèphe, hélas !
Je contiens mal ma bile bouillonnante.
Lydia, quand ta voix nous vante
Le cou rosé de Télèphe, et les bras
Nivéens de Télèphe, hélas !
Je contiens mal ma bile bouillonnante.