Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/156

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Mais, content d’en gronder, il n’en fait pas un pas.
Après quelques jours de paresse,
Et se sentant faillir le cœur,
Il veut sortir ; mais sa foiblesse
L’arrête, et l’insensé meurt enfin de langueur.
Le ciel prétend qu’en son aide on espere :
Mais il faut distinguer les cas.
Faites toûjours ce que vous pouvez faire.
La providence est la commune mere.
Fiez-vous-y : mais ne la tentez pas.
L’HOMME