Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/250

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Et d’un baume excellent deux petites mesures,
Juste, ce qu’il en faut pour guérir ses blessures,
Le dieu s’étoit joué du chevalier errant.
Il vouloit par-là nous apprendre,
Qu’après bien des peines souvent
On n’est pas mieux qu’auparavant.
Heureux qui n’est pas pis ! Ce sont graces à rendre.