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Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/301

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Notre nouveau Bellérophon
Revient triomphant à la nage.
Les flots secondant son ardeur,
Poussent le monstre mort sur les pas du vainqueur.
C’est ainsi que périt la premiere baleine ;
Sa rodomontade fut vaine.
Le plus fort a son foible. Encor un autre point.
Les passions font tout en tous tant que nous sommes ;
Reglons-les seulement ; ne les étouffons point ;
Elles ont tout appris aux hommes.