quart, et je saurai faire excuser la folie de M. DuPlessis.
— Eh bien, madame, essayez, en prononçant le nom de DuPlessis devant M. Hocquart, de voir l’effet que cela lui fera, et décidez après ce que vous voudrez dire.
— Mais, réitéra-t-elle, Cambrai a vu monsieur DuPlessis.
— Cambrai et son ami ne savent pas quel est l’homme qu’ils ont trouvé avec madame, et je saurai leur suggérer une raison pour justifier la présence d’un étranger ici.
— S’il est vrai que Cambrai ne connaît pas M. DuPlessis, j’avoue, monsieur Deschesnaux, que je serais fâchée qu’il apprît ce qui ne le regarde pas. Mais, chut ! j’entends un bruit de pas de chevaux. C’est lui, c’est M. Hocquart ! s’écria-t-elle en se précipitant vers la porte, qui s’ouvrit pour donner passage à un homme au port majestueux, enveloppé dans un long manteau de voyage.