Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/10

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

< 10 ) D O N A S K O. Vous ne Pavez pas reconnu ? D /O A s A K* C’est Frédéric. Z P A V L I ¥ A. Frédéric î\t,\t.

  • auguste'.

Mon frère !\t• ANGELA. Quant à moi , j’avais si peur que je n’ai rien vu. Amélie, avec joie. Cette action n’est pourtant pas celle d’un lâche. D O A B A K. Non | sans doute.\t' . 7\tÀ N G £ L A. Est-ce le Major qui suivait ses pas î d o A B A K. Oui , madame, A N G £ L A. Ah ! je n’y tiens plus. 11 faut que j’aille les embresser tous les deux.\t,\t‘. Fendant ce dialogue, le* chasseurs ont chargé le sanglier sur leurs épaules, ils descendent la montagne, traversent 1a scène et prem- nent lé chemin du château. ^Dorbak, Auguste, Angéla et Amélie k accompagnent le cortège et disparaissent avec lai. SCÇ ne VII. P A U L I N A , D O N A S K. 0 . P A U L I N A. Est-ce bien Frédéric qui a paru dans ce moment périlleux î D O N A S K O. Il est impossible d’en douter. PAOLXKA. J’étais encore si étourdie du danger qu’avait couru mon Auguste , que je n’ai pas .eu U présence d’esprit de regarder c son frère. Ce trait m’étonne et annonce un caractère... D O N A S k O. Dites plutôt que c’est l’action d’un fou qui ne connaît pas le danger. Mais quelque soit son état, il n’est plus à craindre pour nous. Il est mort civilement pour la Pologne et pour sa famille , et notre Auguste lui succède naturellement dans tous ses droits. P A U L I N A. Ah ! j’ai besoin de cçtte idée pour raffermir mon ‘ cou¬ rage, pour ranimer mon âme encore chancelante-., et fixer 1