Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/35

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( 35 ) A m É t î b , à part.\t\ Je n’ose Papprocher.\t' FRÉDÉRIC, à part. 1 Que vois-je ? Amélie 1... O ciel 1 (il se couvre les yeuse avec les mains. )

PETERS.

Eh bien , Monsieur , qu'est-ce qui vous prend donc ? a m É l î z , tremblante. Frédéric !\t‘ p e t e r s, en se détournant du côte d*Amélie. . Ha ! je ne m’étonne plus. „ AMÉLIE.\t, Mon cher Frédéric ! Frédéric, 'uivenyent agité. • .Qui m'appelle ?\t' a m b l i s, ému jusqu’aux larmes. Méconnaissez-vous la voix de votre Amélie ? f réd É r ic, presque hors de lui. De mon Amélie ? ( il la regarde, y C’est elle ! ( il court d elle et la ramène sur la scène. ) Venez , venez ! Est-ce moi que vous cherchiez ici î Serais-je assez heureux !... Péters 9 ' vois donc qu’elle est belle?... Et voilà le trésor qu’on voudrait me ravir ! jamais ! non , jamais ! Anguste se montre, et voyant le mouvement de Frédéric , il appelle par signe ceux qui sont dans le cabinet. Angéla répète le même signal aux autres , tout le monde sort sans approcher de Frédéric. AMÉLIE.\t* O mon ami !\t. -\tf r É d É a î c, avec force. Approchez orgueilleux rivaux, venez me la disputer,. vous verrez comment Frédéric défend la beauté qu’il adore» donasko. Approchons ; il est dangéreùx de laisser Amélie si près d’un insensé»\t. Tons les personnages font un mouvement vers Amélie, Dorbak est en avant. Frédéric place Amélie entre lui et Péters. Sobeski fait des signes à Frédéric, mais tout à sa fureur il ne voit rien» frédério, à Dorbak. . Qui êtes vous?... La voilà î... Gardez-vous d’en appro¬ cher? c’est vous peut-être qui osez prétendre à sa main?., donnez-moi la vôtre» (ilprend la main de Dorbak et la pose d son cœur.) Sentez-vous comme il bat? c’est d’amour et de