Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/34

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< 34 ) P E T E R 6.\t'\t* Voilà une jolie commission que vous me donnez-là. FRÉDÉRIC. Va trouver l’hôtessa de la maison. PETERS. Que lui dirai-je ?\t( v\tFRÉDÉRIC.\t~ Qu’elle fasse venir un notaire.\t, PETERS. Un notaire. FRÉDÉRIC»\t‘ Oui 5 je veux faire mon testament. PETERS. Votre testament? (dpart.} C’est décidé, sa tête se dérange. F R É DÉR I C. Mes chevaux sont-ils sellés?\t• peters, « part. A d’autres. 4 PRÉDÉRI C» Eh bien? P E T E R 8*\t1 Pas encore»\t- FRÉDÉRIC. A quoi penses-tu donc ? Veux-tu que je manque au rendez- vous de chasse que le prince m’a donné ? peters, à part. Un testament , un cheval, une chasse... ( haut. ) Mais , monsieur, en vérité..• FRÉDÉRIC. Maraud ! je ne sais à quoi il tient que je ne’l’étrangle sur la place. (// fait un mouvement sur Péter s , et se retient* ) PETERS.\tC Ah ! mon cher maître. F r É d éric» Va chercher mon épée.\t. • peters.\t. Non pas, s^il vous plaît ; je n’ai nulle envie de mourir» •\t. ( Amélie sort doucement du cabinet. )\t? FRÉDÉRIC. Ne sais-tu pas que je suis obligé de tuer mon rival pour épouser Amélie ?\t.\t, a m É ti e , sans approcher•\t3 Qu’entends-je ?\t,\t>\t• PETERS.\tX\t'41 Qui donc est votre rival ?\t‘