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Scène III.
TRIBOULET.
Triboulet, seul, l’œil fixé sur le sac.
Il est là ! — Mort ! — Pourtant je voudrais bien le voir.
Tâtant le sac.
C’est égal, c’est bien lui. — Je le sens sous ce voile. —
Voici ses éperons qui traversent la toile. —
C’est bien lui ! —
Se redressant et mettant le pied sur le sac.
Maintenant, monde, regarde-moi.
Ceci c’est un bouffon, et ceci c’est un roi ! —
Et quel roi ! le premier de tous ! le roi suprême !
Le voilà sous mes pieds, je le tiens, c’est lui-même.
La Seine pour sépulcre, et ce sac pour linceul.
Qui donc a fait cela ?
Croisant les bras.
Hé bien oui, c’est moi seul. —
Non, je ne reviens pas d’avoir eu la victoire,