Plus bas, même page, ligne 21 : au lieu de :
le général Pontmercy…,
il faut :
ce général…
(5e partie, Jean Valjean, tome VI, même édition, p. 263, après la ligne 1), intercaler cet alinéa :
Quant au nom de Pontmercy, on se rappelle que sur le champ de Waterloo, il n’en avait entendu que les deux dernières syllabes, pour lesquelles il avait toujours eu le légitime dédain qu’on doit à ce qui n’est qu’un remercîment.
Du reste, etc.
Priez M. Verboeckhoven de m’envoyer épreuve de ces passages importants. — Madame Lacroix va bien, j’espère ; offrez-lui mes hommages.
Comme votre beau et noble article complète et commente notre serrement de main ! Vous parlez de ce rendez-vous du 16 septembre[3] avec une émotion qui me va au cœur. Je ne lis votre article qu’ici et aujourd’hui ; mais il n’est pas trop tard pour vous dire ma reconnaissance et ma sympathie. Vous êtes, ainsi que moi, un persécuté et ainsi que moi un protestant. Ils sont rares les hommes qui, comme vous, joignent à toutes les puissances de l’intelligence toutes les vaillances de l’âme.
Merci, monsieur, et bravo.
Vous êtes toujours admirablement charmant et bon. Merci pour tout. Vous trouverez sous ce pli une traite de 666 francs pour remettre un peu mes chiffres à flot. Vous aurez en outre, je crois, fin décembre, les 500 fr. de l’Institut, si je suis encore de l’Institut.
- ↑ Correspondance relative aux Misérables, Bibliothèque Nationale.
- ↑ Charles-Louis Chassin, journaliste et historien, grand émule de Michelet, ami d’Edgar Quinet, laissa une œuvre très appréciée : Le génie de la Révolution, une série de travaux sur la Hongrie, etc.
- ↑ Banquet des Misérables.
- ↑ Papiers Chassin, Bibliothèque de la Ville de Paris.