dans lequel nous barbotons. Quel noble et grand esprit vous êtes ! Vous luttez, vous vaincrez. Hélas ! moi je suis garde-malade. De là, mon absorption et mon silence. Dès que Victor ira mieux, je le mènerai dans le Midi : là nous serons près de vous, et j’aurai, j’espère, le bonheur de vous baiser la main, vaillante Muse.
À vous. Con todo mi corazon.
Cher Meurice, je crois que décidément la meilleure rectification est celle-ci :
Il y a une petite erreur dans le reçu du Rappel que voici : La somme que Michaëlis m’a remise et que j’ai tenu à honneur de transmettre au Rappel sans en distraire un centime est
et non dix comme il est dit par mégarde dans le reçu. Voulez-vous être
assez bon pour prier Ernest Lefèvre de rectifier l’erreur. Merci et pardon.
Cher ami, mon ourserie recule devant Marion de Lorme ce soir. Je mets ma loge aux pieds de madame Meurice. Voulez-vous être assez bon pour la lui offrir de ma part.
Si nos amis du Rappel désirent des places, en voici. Voulez-vous avoir la grande bonté de les leur transmettre de ma part ?