prier la librairie internationale de m’envoyer cinq exemplaires de l’édition parisienne. Plus Petruccelli della Gattina. Comment lui écrire sans avoir lu une ligne ? Savez-vous si M. de Pène (Henry) a eu son exemplaire avec frontispice ? On m’assure que non. En voici un pour M. Albéric Second. Méry et Parfait et Deschanel ont-ils eu les leurs ? On me dit encore que non. Voici l’adresse de M. Timol-Pasqualini : Chef interne à l’hôpital de Toulon. Il fait le journal toulonnais et est excellent. M. Paul Lavigne est le feuilletoniste de la Gironde. Voulez-vous recommander ces envois à MM. Guérin et Bohné. M. Michelet a-t-il eu son exemplaire ? Dites-lui que le retard n’est pas venu de moi. — À quand Paul Berthaud. Donnez-moi des nouvelles de cette œuvre, dont la gloire m’émeut d’avance.
Avez-vous reçu la copie de ma lettre à M. Clément Duvernois ? Je n’ai pas relu cette copie, et je ne réponds pas des fautes. Cette lettre du reste a pu être interceptée. La Liberté l’a-t-elle reçue ? Il serait possible, dans tous les cas, qu’elle n’osât point la publier[1] ?
Voici, chère amie, une traite à vue à ton ordre sur Mallet frères de 2 000 fr. qui se décomposent ainsi :
1° Ce que je te redois (300-90-94-25) 266,65
2° Adèle : 1° ses deux mois d’avril et de mai 300
2° sa subvention de printemps 300
3° Charles. Son mois d’avril 200
4° Achat de mobilier en mars 502,25
5° En compte pour la dépense d’avril 531,10
2 100 fr.
L’article du Sancho est court, mais excellent. Remerciez M. V. Joly de ma part, et dites-lui que les journaux de l’Archipel vont tous reproduire son article. Avez-vous invité M. L. Van Bemmel à dîner ? — Kesler espère un mot de toi, chère bien-aimée, sur la page émue et éloquente qu’il a publiée dans la Gazette de Guernesey. Écris-lui.