Par exemple !
On l’adore !
On la hait !
Tout le monde l’adore !
Cette femme ! on l’adore !
Dame ! c’est une idole !
Les six vers qui finissent la scène venaient tout de suite après cette réplique de Gallus :
Si j’étais l’amoureux, je serais fou vraiment.
Cet enchaînement nous privait de la trouvaille de Gunich ramassant le sonnet tombé de la poche de Gallus.
Variantes isolées :
[Homme et prince d’écrit, c’est trop. Je désapprouve
Qu’un homme tel que vous roucoule, et je vous trouve
Un peu jeune.
Imprudent. Un peu plus vous seriez en danger,
Vous le diable et le loup, de passer pour berger.
Si l’on savait cela, vous seriez une altesse
Très compromise aux jeux des belles de Lutèce.
Paris se moquerait de vous. Soyez prudent !
Sois tranquille. Jamais, hors toi, mon confident,
Nul ne verra mon cœur. Je suis impénétrable.]
SCÈNE III. — Les mêmes, Zabeth, etc.
Indication dans un coin de la page :
Au dos du feuillet contenant le début de la scène iii est collé le brouillon de la chanson avec quelques variantes et un couplet inédit.
Variante du premier couplet :
Les Anglais sont méchants,
L’Autriche, illa lanlaire !
L’eau triche, et n’est pas claire,
Le roi ne sait que faire.
Commère,
Les bœufs aux champs !