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Page:Hugo - Actes et paroles - volume 4.djvu/43

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GENÈVE ET LA PEINE DE MORT

nous arriverons aussi à cet autre grand progrès, la séparation de l’église et de l’état.

« Je ne suis qu’un homme bien obscur, monsieur, mais je suis heureux ; je vous félicite et je nous félicite. L’immense effet de votre lettre nous honore. La patrie de M. de Sellon ne pouvait être insensible à la voix de Victor Hugo.

« Excusez cette lettre écrite en hâte, et veuillez agréer mon profond respect.

« A. Gayet (de Bonneville). »