Page:Hugo - L'Homme qui rit, 1869, tome 2.djvu/274

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sympathie confuse et profonde, et même avec un certain respect attendri, ce drame-poème de Chaos vaincu, cette victoire de l’esprit sur la matière, aboutissant à la joie de l’homme.

Tels étaient les plaisirs grossiers du peuple.

Ils lui suffisaient. Le peuple n’avait pas le moyen d’aller aux « nobles matches » de la gentry, et ne pouvait, comme les seigneurs et gentilshommes, parier mille guinées pour Helmsgail contre Phelem-ghe-madone.