Livre:Hugo - L'Homme qui rit, 1869, tome 2.djvu

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TitreL’Homme qui rit Voir l'entité sur Wikidata
VolumeTome II
AuteurVictor Hugo Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLibrairie Internationale
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1869
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DEUXIÈME PARTIE.
PAR ORDRE DU ROI


ÉTERNELLE PRÉSENCE DU PASSÉ ; LES HOMMES REFLÈTENT L’HOMME
I. 
Lord Clancharlie 
 9
II. 
Lord David Dirry-Moir 
 33
III. 
La duchesse Josiane 
 47
IV. 
Magister elegantiarum 
 67
V. 
La reine Anne 
 83
VI. 
Barkilphedro 
 99
VII. 
Barkilphedro perce 
 111
VIII. 
Inferi 
 123
IX. 
Haïr est aussi fort qu’aimer 
 129
X. 
Flamboiements qu’on verrait si l’homme était transparent 
 143
XI. 
Barkilphedro en embuscade 
 159
XXI. 
Écosse, Irlande et Angleterre 
 170


GWYNPLAINE ET DEA
I. 
Où l’on voit le visage de celui dont on n’a encore vu que les actions 
 189
II. 
Dea 
 199
III. 
« Oculos non habet, et videt » 
 203
IV. 
Les amoureux assortis 
 211
V. 
Le bleu dans le noir 
 219
VI. 
Ursus instituteur, et Ursus tuteur 
 227
VII. 
La cécité donne des leçons de clairvoyance 
 235
VIII. 
Non seulement le bonheur, mais la prospérité 
 243
IX. 
Extravagances que les gens sans goût appellent poésie 
 255
X. 
Coup d’œil de celui qui est hors de tout sur les choses et sur les hommes 
 267
XI. 
Gwynplaine est dans le juste, Ursus est dans le vrai 
 279
XII. 
Ursus le poète entraîne Ursus le philosophe 
 295