c’était correct, l’écriture sainte ayant créé le précédent. Ce qui est biblique peut être anglican. Le précédent biblique va même jusqu’à faire un enfant qui s’appelle Ebnehaquem ou Melilechet, c’est-à-dire le Fils du Sage.
Pourquoi pas ces mœurs ? Cynisme vaut bien hypocrisie.
Aujourd’hui l’Angleterre, qui a un Loyola appelé Wesley, baisse un peu les yeux devant ce passé. Elle en est contrariée, mais fière.
Dans ces mœurs-là, le goût du difforme existait, particulièrement chez les femmes, et singulièrement chez les belles. À quoi bon être belle, si l’on n’a pas un magot ? Que sert d’être reine, si l’on n’est pas tutoyée par un poussah ? Marie Stuart avait eu des « bontés » pour un cron, Rizzio. Marie-Thérèse d’Espagne avait été « un peu familière » avec un nègre. D’où l’abbesse noire. Dans les alcôves du grand siècle la bosse était bien portée ; témoin le maréchal de Luxembourg.
Et avant Luxembourg, Condé, « ce petit homme tant joli ».
Les belles elles-mêmes pouvaient, sans incon-