Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/214

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Pensif, je répondis à l'archange nocturne :

                            *

— Sévère esprit, ta voix sanglote comme l'urne Qui verse un flot noir et glacé. Sur qui te penches-tu ? Tes paroles s'adressent Aux tristes nations d'hier qui disparaissent, Aux pâles foules du passé.