Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/283

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La vieille en pleurs disait : — La misère en est cause,
Pour mon bon vieux défunt je n'aurai pas grand'chose,
Un seul cierge, un seul prêtre, et deux mots d'oraison
À la porte. On peut bien entrer dans la maison,
Avoir l'autel, avoir les saints, avoir les châsses,
Tout le clergé chantant des actions de grâces,
Des psaumes, des bedeaux, tout ; mais il faut payer,
Hélas ! et moi qui dois trois termes de loyer,