Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/303

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée



                             LE POËTE

Tu ne l'as pourtant pas mérité, ma patrie !


                             LE CHŒUR

Oh ! quel acharnement sur la grande meurtrie !
La bataille a passé, chaos sombre et tonnant.
Voici la vision des vagues maintenant.