Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/348

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Et les cœurs terrassés sentent subitement
Se calmer ce qui mord, se taire ce qui ment,
Et s'effacer la haine et la nuit se dissoudre.

On croit voir une fleur d'où sort un coup de foudre.