Page:Hugo - La Légende des siècles, 3e série, édition Hetzel, 1883.djvu/59

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On est dans l’invisible, on est dans l’impalpable.
Ici tout, jusqu’à l’air qu’on respire, est coupable,
            Et l’eau qui pleure est un remords ;
Sous on ne sait quelle ombre, on ne sait quelles formes
5Flottent, et l’on voit, tels que des songes énormes,
            Passer d’affreux univers morts !