— Plus que moi toujours.
— Eh bien, après ?
— Il faut que tu tâches de savoir où est allée cette noce-là ?
— Où elle va ?
— Oui.
— Je le sais.
— Où va-t-elle donc ?
— Au Cadran Bleu.
— D’abord ce n’est pas de ce côté-là.
— Eh bien ! à la Rapée.
— Ou ailleurs.
— Elle est libre. Les noces sont libres.
— Ce n’est pas tout ça. Je te dis qu’il faut que tu tâches de me savoir ce que c’est que cette noce-là, dont est ce vieux, et où cette noce-là demeure.
— Plus souvent ! voilà qui sera drôle. C’est commode de retrouver, huit jours après, une noce qui a passé dans Paris le mardi gras. Une tiquante[1] dans un grenier à foin ! Est-ce que c’est possible ?
— N’importe, il faudra tâcher. Entends-tu, Azelma ?
Les deux files reprirent des deux côtés du boulevard leur mouvement en sens inverse, et la voiture des masques perdit de vue « la roulotte » de la mariée.
- ↑ Tiquante, épingle.