Page:Hugo - Les Travailleurs de la mer Tome I (1891).djvu/288

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— Bien pagado sera.

— El oro es el oro. El viento es el viento.

— Mucho.

— El hombre hace lo que puede con el oro. Dios con el viento hace lo que quiere.

— Aqui esta à viernes el que desca marcharse con Blasquito.

— Pues.

— A qué momento llega Blasquito ?

— A la noche. A la noche se llega, a la noche se marcha. Tenemos una muger que se llama el mar, y una hermana que se llama la noche. La muger puede faltar, la hermana no.

— Todo está dicho. Abur, hombres.

— Buenas tardes. Un trago de aguardiente ?

— Gracias.

— Es mejor que xarope.

— Tengo vuestra palabra.


— Il sera bien payé.

— L’or est l’or. Le vent est le vent.

— C’est juste.

— L’homme avec l’or fait ce qu’il peut. Dieu avec le vent fait ce qu’il veut.

— L’homme qui compte partir avec Blasquito sera ici vendredi.

— Bien.

— À quel moment arrive Blasquito ?

— À la nuit. On arrive la nuit. On part la nuit. Nous avons une femme qui s’appelle la mer, et une sœur qui s’appelle la nuit. La femme trompe quelquefois ; la sœur jamais.

— Tout est convenu. Adieu, hommes.

— Bonsoir. Un coup d’eau-de-vie ?

— Merci.

— C’est meilleur que du sirop.

— J’ai votre parole.