que cette courbe est ainsi décrite, nous démontrerons que les dites ondes formées des centres F, G, H, etc., la toucheront toutes.
Il est certain que la courbe E K (Fig. 72), et toutes les autres, décrites par l’évolution de la courbe E N C, avec des différentes longueurs du fil, couperont tous les rayons H L, G M, F O, etc., à angles
Fig. 72.
droits, et en sorte que leurs parties, interceptées entre deux telles courbes, seront toutes égales, car cela s’ensuit de ce qui a été démontré dans notre Traité De Motu Pendulorum. Or imaginant les rayons incidents comme infiniment proches les uns des autres, si l’on en considère deux, comme R G, T F, et qu’on mène G Q perpendiculaire sur R G, et que la courbe F S, qui coupe G M en P, soit décrite par l’évolution de la courbe N C, en commençant par F, jusqu’où je suppose que le fil s’étend, on peut