Page:Huysmans - Le Drageoir aux épices, 1921.djvu/41

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tes grands yeux un fleuve de larmes ; c’étaient les obsessions brûlantes, les tumultes charnels d’une insatiable salacité !

Eh ! qu’importe, après tout, pauvre aimée ? tu as expié tes crimes ; va, dors en paix ton long sommeil, ô la plus vile des reines, ô la plus belle des prostituées !