célébrant ; puis, lorsque la messe commença, ils se tinrent derrière le diacre et le sous-diacre prêtres, remplissant leur devoir de liturges, avec une précision et un respect que dans d’autres églises, certains membres du clergé ignorent.
Elle était vraiment louable, cette grand’messe. On y chanta, en plain-chant, l’Introït, le Kyrie Eleison, le Gloria, le Lauda Sion, le Credo, le Sanctus et l’Agnus Dei ; malheureusement, ici, de même que dans beaucoup de sanctuaires de Paris, l’on escamota le Graduel, l’Offertoire et la Communion, plus difficiles à chanter ; mais enfin il n’y eut pas de pétarades musicales modernes ; grâces en soient rendues au maître de chapelle et au curé !
Et ce que l’on pouvait se croire, loin de Paris, dans cette vieille église de la rue Saint-Martin, peuplée de Petits négociants dont la piété était simple et réelle !