Page:Ibn Battuta - Voyages - Traduction Sanguinetti - Volume 1.djvu/308

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dâdy azzébîdy alhanbaly, dans les derniers jours de chawwàl, et les premiers de dhou’lka’dah de l’année 630, dans la mosquée djàmi Almozhaffary, au pied du mont Kàcioûn, à l’extérieur de Damas.

Le dernier avait reçu la licence d’enseigner la totalité de l’ouvrage des deux cheikhs Abou’lhaçan Mohammed, fils d’Ahmed, fils d’Omar, fils d’Alhoçaïn, fils d’Alkhalf alkaihî’y, l’historien ; et Aly, fils d’Abou Becr, fils d’Abd Allah, fils de Roùliah alkélànicy al’atthâr (le droguiste), tous les deux de Bagdad. Il avait de plus la licence d’enseigner, depuis le chapitre de la jalousie des femmes et de leur amour, jusqu’à la fin du livre, d’Abou’lmonaddjà Abd Allah, fils d’Omar, fils d’Aly, fils de Zayd, fils d’Allatty alkhozâ’y, de Baghdad. Tous les quatre (il semble qu’il devrait plutôt y avoir : tous les trois) avaient entendu les explications du cheikh Sadîd eddîn Abou’lwakt Abd Alawwal, fils d’Içâ, fils de Cho’ayh, fils d’Ibrâhîm assedjzy alharaouy assoùfy, dans l’année 553 à Baghdàd.

Le dernier dit : « Nous a instruit i’imâm, l’ornement de