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Page:Ibn Battuta - Voyages - Traduction Sanguinetti - Volume 3.djvu/130

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Nous en parlerons, s’il plaît à Dieu. Nous arrivâmes près de ce fleuve, à la fin de dhou’lhiddjeh, et nous vîmes briller cette même nuit la nouvelle lune de moharrem de l’année 734 (12 septembre 1333). De cet endroit, les préposés aux nouvelles écrivirent dans l’Inde pour y transmettre l’avis de notre arrivée, et firent connaître au souverain de ce pays ce qui nous concernait.

C’est ici que finit le récit de ce premier voyage. Louange à Dieu, maître des mortels.