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��PROLEGOMENES

��Saracosta , ville , I , i lio.

SaBAGOSSE, I, 1^0.

Sabdaigne (La), I, i38, i4i-

Sardamva, île, I, i38, i4i-

Sahïa Ibn Zoneïm , I, 228.

Satalie, ville, i/i3.

Satîh , devin , 1 , 324 ; Il > 207.

Sauterelles. Elles obéissent à un roi , I, 89.

Sauvages. Les tribus à demi sauvages sont plus capables que les anires d'effectuer lies conquêtes, I, 290 et suiv. — Ils lent des conquêtes très-étendues , 3o3.

Savants. Liste des savants qui accompa- gnèrent le sultan mérinicle Abou '1-Ha- cen en Ifrikiya, I, Jntrod. xxx, note.

— De tous les bommes, les savanis sont les moins capables d'administrer un pays, III, 294 et suiv. — La plu- part des savants chez les musulmans ont été de naissance étrangère, 296 et suiv.

Saxe (La), I, 160.

Sceau (Le) du caillou, 111, 179. — Ce- lai du lion, 179. — Celui des prophètes, II, 193, 194- — Celui des saints, 193, 194.

Sceau impérial, II, 61 et suiv. — Le mot sceau désigne aussi le vizirat, 64-

— Le sceau de Mohammed, 61. Science. Les trois conditions que toute

science doit remplir, 1, 77, note. — Chapitre sur la science. Il , 448. — Les sciences cultivées dans les pays musul- mans à l'époque où Ibn Khnldoun écri- vait, 45o et suiv. — Elles forment deux classes : les sciences qui dérivent de la réflexion (ou raison), et celles qui dé- rivent de la tradition (ou foi), ibid. — Les sciences traditionnelles sont très- nombreuses, 45 1, et très -encouragées chez les musulmans , 453. — Les

��sciences coraniques, 454 et suiv. — Celles qui se rapportent aux traditions ,• 463 et suiv. — Les diverses classes des scienciBs inteliec(uetles ou philoso- phiques, III, 12 1. — Il y en a sept, 123. — Elles furent cultivées en Perse et en Grèce, i23, et chez les Chal- déens et Assyriens , 1 24 ; ainsi que chez les Coptes , ibid. — Elle tlorissent dans l'irac, dans la Transoxiane et dans le pays des Francs, 138, 129. — 11 faut beaucoup de temps pour apprendre même une seule science, 272, 273. — 11 y en a qu'on étudie pour elles- mêmes, et d'autres qui servent uni- quement à l'acquisition de celles-là, 283. — Celles de la première classe méritent d'être développées longue- ment, ibid.; mais celles de la seconde classe ne doivent pas être étudiées dans toutes leurs ramifications, 284. — L'étude des sciences religieuses rend nécessaire l'acquisition d'autres con- naissances , 298. — Sciences à facultés,

299, note. — La culture, des sciences fut méprisée par les premiers musulmane ,

300. — Les professeurs des sciences religieuses furent maltraités par les gouvernements cjui remplacèrent le kbalifat, 3oi. — La première appari- tion des sciences philosophiques chez les musulmans, ibid. — Indication des pays où la culture des sciences et des arts est encore prospère, 3o2. — Les sciences (jui .se rapportent à la langue arabe, 3o7 et suiv.

Science divine (La). Voyez Métaphy- sique.

Science nouvelle (La), ou la Philoso- phie DE l'histoire et DE LA CIVILISA- TION. — C'est celle dont on voit l'ap- plication dans les Prolégomènes d'Ibn

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