d’un peuple, dont l’esprit s’est, pour un moment, incarné dans cet homme, d’un peuple vigoureux et sain, et dont le contact apporte la vigueur et la santé.
P.-S. — Avant d’en finir avec les introductions, je prie les lecteurs qui voudront consulter la brochure le Peer Gynt d’Ibsen, dont j’ai parlé plus haut, d’y corriger les fautes d’impression suivantes, que j’ai relevées après coup et qui obscurcissent ou dénaturent le texte sur quelques points essentiels[1].
Page 10, ligne 17, au lieu de trouverons, lisez trouvons.
— 12 — 12— surnaturel, lisez subnaturel.
— 20 — 9 et 10 — avait un autre plus beau ; on…,
lisez a vu un autre plus beau ou…
— 21 — 12— affres, lisez offres.
— 36 — 7— commencera, lisez commence.
— 55 — 20— faut, lisez peut.
- ↑ On avait dû précipiter le tirage pour arriver avant la représentation du drame, si bien que, me trouvant à ce moment loin de Paris, je n’avais pu corriger les épreuves de la brochure.