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PRÉFACE

Un certain nombre de nos lecteurs — et de nos lectrices — parmi celles et ceux qui, fidèlement, veulent bien s’intéresser à ce qui porte notre signature, nous ont demandé si nous ne reviendrons pas quelque jour à la forme donnée au premier en date de nos ouvrages : Qui aime bien châtie bien.

Les deux volumes contenant les études consciencieusement réunies sous ce titre, emprunté à la séculaire sagesse des nations, constituaient un recueil de faits authentiques, découpés ça et là, dans les journaux, pendant vingt ans peut-être et, à ces coupures, dûment datées, nous avions ajouté des récits non moins exacts, mais fruits d’observations directes, le plus souvent personnelles, avouons-le sans fard.

Nous présentions les uns et les autres groupés, classés. De simples liens d’analogie ou de similitude les rattachaient entre eux.

Jamais, en effet, la question de la flagellation, passionnelle ou non, n’avait été étudiée de la sorte et le public éclairé fit à notre livre un accueil tellement encourageant que nous nous rendîmes compte, à n’en pouvoir douter,