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montagne, et qu’il le donna à Amaryllis. Et les femmes poussaient de longs cris, et le bouvier riait.
Ô belle Amaryllis, bien que morte, nous ne t’oublierons pas. Quand tu t’es éteinte, je t’aimais autant que mes chèvres. Ah ! ma destinée est bien dure !
Il faut être courageux, cher Battos. Le jour de demain sera peut-être meilleur. L’espérance appartient aux vivants, et il n’y a que les morts qui désespèrent. Zeus est tantôt radieux et tantôt il amasse les nues.
J’ai du courage. Ecarte les veaux ! Ils mangent les feuilles d’olivier ; ici, le blanc !
Ici, Kymaitha ! du côté de la colline ! — N’entends-tu pas ? Attends ! Par Pan, cela finira mal si tu ne t’en vas pas. Voilà qu’elle revient de nou-