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forces, moi Bilghè kagan des Turcs, [j’ai été] assis ... en veillant (le corps de) mon frère cadet Kul-téghin [ ]», Dans la ligne 2, il faut peut-être traduire : Inantchou apa et Yargan tarkan . . .

P. 123, 1. 20—21, lire : Ong, toutouk chinois, vint avec une armée, etc.

124, . 10, lire : bûdn[.].

126, - 1 au bas, lire : au profit [de l’empire et ?] et des.

128, - 16, lire : [karlouk ?].

132, - 17, lire : kôrt^^is^in.

135, - 28—29 (n. 1), supprimer : aussi appelé — Istâmi. (Comp. p. 193 )

136, - 38 (n. ô), ajouter : ou peut-être Yin-chan (In-chan), des monts sombres», qui s’étendent de Chan-si jusqu’à Liao-toung, — cfrom earliest times the wooded hunting grounds of the Hun Turks» (M. Parker).

P. 142, 1. 30 (n. 11, fin), ajouter : Le sujet logique peut bien être les Chinois, de sorte que ce sont les Chinois qui sont censés leur avoir fait «tramer des complots» et «s’entre-quereller» («se calomnier»).

P. 14ô, 1. 16 (n. 18), après boèsa ? ajouter : Ou peut-on supposer un thème à part boiâ- (= boè’ d’oii holè-a, gérundium en -a, boèÔun, impératif, pour *bolâ-sunf

P. 145, 1. 29, ajouter : Peut-être Iltàràs (Iltiris) est-il dérivé de tir- (târ- ou ter), rassembler, et désigne celui qui rassemble l’empire. Àltirir, dans Rachid-eddin, pourrait bien avoir le même sens.

P. 146, 1. 3 (n. 19), lire : Comp. kâ.

• 146, - 17 (n. 20, fin), ajouter ; kôzàd-^ garder, veiller {kôsàdi ou -du, I W 1, de kô2y œil).

P. 147, 1. 36 (n. 22), après «nom de peuple», ajouter : (je ne compte pas la forme plus récente Ouz).

P. 150, 1. 23 (n. 26, fin) : M. Parker aussi bien que M. G. Schlegel m’ont communiqué, indépendamment l’un de l’autre, qu’ils trouvent vraisemblable que qonâuj (ou qunôuj) est emprunté au mot chinois mentionné, kounytchou, princesse (littéralement: celle dont le mariage est négocié [tchou] par un duc, un prince vassal Ikoung], savoir parce que l’empereur est trop grand pour le faire). En ce cas il faut donc traduire : «Nous lui donnâmes (pour épouse) la princesse (ou «Madame») ma sœur cadette», interprétation que maintenant je regarde moi-même comme plus vraisemblable que celle que j’ai donnée dans le texte {siàilim qonÔujuy, comme aqahym qayanyy [par ex., I E 11, 25], mon père le kagan, ôgàni qatunyy [ibid.], ma mère la katoun, etc.).

P. 150, 1. 35 (n. 27, fin), ajouter : Tarmaa se retrouve plutôt dans le nom chinois des monts T*an-man, situés dans le pays des Kirghiz (M. Parker).

P. 152, 1. 40 (n 32) : D’après M. Parker, il faut distinguer deux différents monts mentionnés par les Chinois, d’une part, Oute-kien (^Utekem)^