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f^ X ^j Y • 4^ ^ 6^ ^ A h ^à*k(fùna i^'kdl?, et dont le dernier est encore identique à f^ x ^ X f^ 1,3. Je transcris donc ce signe i‿č'.
, l,¥, fi'.
La parenté de ces caractères, au moins des trois premiers, se révèle tout de suite, sans qu'on ait à considérer leur valeur, quand on voit comment | alterne, dans certains cas, avec , dans d'autres avec ¥ (j'en citerai tout à l'heure des exemples); et si Ton consi- dère de plus près les cas où nous trouvons employés ces caractères, on ne tardera pas à voir qu'ils ne peuvent représenter que las sif- flantes.
Des trois premiers caractères, les deux dont l'emploi est le plus nettement limité, sont , qui est le s soufflé, avec les voyelles vélaires, et Y, qui représente § (ch français) et est adaptable à toutes les voyelles, bien qu'il figure moins souvent avec les voyelles palatales qu'avec les voyelles vélaires. | , au contraire, est d'une application plus compliquée. A proprement parler, 1® c'est le signe de s avec les voyelles palatales; mais 2® souvent aussi un emploi collatéral le fait figurer avant ou après la voyelle y [1]) au lieu de , et 3® enfin, il est commun, surtout dans l'inscription du mon. I, comme remplaçant de ¥ ^ avec (après) les voyelles palatales, en certains cas (la terminaison -m?/5), mais presque seulement dans le mou. I (et III), avec y. Le fait qu'en emi)loyant | dans ce dernier sens, ou est loin d'être conséquent, montre que ce ne peut être essen- tiellement qu'une particularité graphique de représenter le son .^ par le signe du s et qu'en règle générale du moins, on ne doit pas y voir de véritable changement phonétique de ë en s[2])^ pas même une particularité de dialecte personnelle à celui qui a rédigé ou taillé l'inscription. Conformément aux principes que je suis généra- lement dans ma transcription, je n'en maintiens pas moins ici s par- tout où il est écrit | (et ), et j'emploie S là seulement où l'original