Page:Iorga - Histoire des relations entre la France et les Roumains, 1918.djvu/197

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écrivait ce qui suit : « Bien que les jeunes Roumains se trouvent loin de leur pays, ils ne l'oublient pas un seul moment et ils cherchent à resserrer le plus possible leur fraternité, autant ici même que dans le pays quand ils y retourneront. » Et, plus loin, ce passage empreint de sagesse : « A Paris, nous ne sommes pas venus seulement pour apprendre à parler le français comme un Français, mais pour emprunter aussi les idées et les choses utiles d'une nation aussi éclairée et aussi libre[1]. » Une dame Greceanu, dont le fils venait de mourir, constitue une rente en faveur de la « Bibliothèque » [2].

  1. Étoile du Danube, p. 340.
  2. Billecocq, loc. cit., pp. 335-337, 394-397.