Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/156

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âegr/'dê réfiartgibilité}<&'cette couleur ne peut être èhàiigée 'Tiv pur réflexion ni par réfrac* R0/pJ(<3s}.f^ ol }:t^7z t- .r. -.r-ph 'ïtâ^elôfeici M Exfèriëifcës iie la !¥. ^ro- posiïioîîi Après' avoir ïepaxë lés râyoris hété- «*g^s 1& tos âes Autres v -iè ifpëïSlrW^/ fermé pirates îtS]fons pàriîïf «fûiï:bda£ à l'autre illu- miné de "âirfëirentes cbùlaîfs^fârigéës dâfls cet drdre^yîofèt^ inaigô^ Bleu V" vërtV: !jaune, oflûiléi'ife^toiigevtfv'êc-feiltes lear,£rnùànces intermédiaires': dëfî^téi ijii'iori àpperCévbit ait- tant ëe couleurs d'ifïerëniÉes <Ju?ii yiavoit de «îïrîérëhtés èfpèces; Relayons; s V. Expérience, Que ces couleurs ne puiflent pas changer àè nature par réfraiiftion c'eft ce que j'ai conftaté en réfractant j au moyen f.i ~l

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.< jterterY Jésrâyoijs ne ContfiscoMés Hs font iimpIetÉent doués de la propriété de produire, fur, l'organe de la, vue, la fenfation de telle ou telle couleur de même que, dans un corpsïonôfë, le fi>n n'éft que la pro- priété 'd'agiter l'air de rnânîère à exciter.^ d'ans l'or- gâne des l'ouïe, la fenfadoitt de tel & tel fon.