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Page:Ivoi - La Mort de l’Aigle.djvu/300

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maintes preuves de courage et de résolution, était devenu faible comme un enfant. Il avait peur, une peur intense, instinctive, irraisonnée. Sans doute la main du Destin s’était appesantie sur sa tête, le désignant comme l’homme qui devait faire sombrer la grandeur de Napoléon et de la patrie. Il s’empressa de recevoir le parlementaire annoncé.

Bulow brutal, mais non dépourvu de finesse, jugea l’homme d’un coup d’œil, et de sa voix rude qui terrifiait ses subordonnés :