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lui-même… une larme brûlante roula sur sa joue, larme de colère, d’impuissance devant la destinée.
À ce moment même, les soldats, ignorants du désastre enclos dans le triomphe momentané, comme un ver caché au sein d’un fruit, se promenaient par la ville illuminée, balançant leurs shakos, bonnets à poil, casques au bout de leurs armes, en criant :
— Victoire ! Vive l’Empereur !
Les cris parvenaient, amère ironie, à celui qui gémissait :
— La victoire a fui !