Puis il rugit :
— Vive l’Empereur !
Et les soldats éperdus, la gorge serrée par l’angoisse, répétèrent de leurs voix rauques.
Vive l’Empereur !
Donnant ainsi au prisonnier, au fugitif, au condamné de l’Europe apeurée,
l’acclamation glorieuse des apothéoses.